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Écologie urbaine : les bureaux d'études recrutent des ingénieur·es de tous âges et de toutes spécialités

Les bureaux d'études en assistance à maîtrise d'ouvrage pour les collectivités territoriales recrutent des ingénieur·es expérimentés et juniors. Une spécialité environnement n'est pas indispensable. Explications de Sophie Desoudin, de Sage Engineering.

Interview vidéo  |  Energie  |    

Sophie Desoudin est directrice associée du bureau d'études Sage Engineering. C'est une société de conseil et d'assistance à maîtrise d'ouvrage pour les collectivités territoriales dans le domaine de l'environnement (déchets, énergie, eau, écologie urbaine). Présente sur notre plateau TV lors du salon Pollutec 2023, elle revient sur les besoins en recrutement de son entreprise et d'autres acteurs du secteur.

Le bureau d'études recrute essentiellement des ingénieur·es. Les jeunes diplômé·es seront formé·es en interne et commenceront en tant qu'ingénieur·e projet. Les profils expérimentés, avec des compétences techniques particulières, seront orientés sur des postes d'expert·es techniques. Enfin, sur le volet « assistance à maîtrise d'ouvrage », l'entreprise recrute des candidat·es souhaitant travailler avec les collectivités territoriales. L'objectif étant « d'utiliser son bagage technique pour parler avec les élu·es et les accompagner dans leurs projets de territoire ».

Concrètement, l'ingénieur·e d'études sera chargé·e de réaliser les études de faisabilité, de rédiger des rapports pour ensuite présenter les solutions proposées aux clients. Il peut s'agir, dans le cas de l'entreprise Sage Engineering, de mettre en place un centre de tri des déchets ou encore d'implanter la collecte des biodéchets. Le goût pour la relation client est essentiel. La fonction nécessite un contact régulier avec les donneurs d'ordres. Une évolution vers les fonctions de chef·fe de projets, puis de directeur·trice de projets, est possible.

L'expert·e technique, de son côté, a une présence plus forte sur le terrain. Il visite des sites, établit un diagnostic et propose des solutions techniques innovantes pour faire évoluer les installations. Pour améliorer la performance énergétique d'une usine de valorisation énergétique des déchets, cite en exemple la directrice. L'expert·e technique rédige le cahier des charges du projet, négocie avec les constructeurs et fait le suivi complet des travaux.

Pour réussir dans ce domaine, il faut « avoir une tête bien faite, être curieux, avoir envie d'apprendre », énonce Sophie Desoudin. Le niveau ingénieur est requis, qu'il soit généraliste ou spécialisé en environnement. Une spécialité en aéronautique ou en automobile, par exemple, répond également aux attentes des recruteurs. Ces derniers candidat·es sont avant tout en recherche de sens dans leur métier, qu'il trouve dans le conseil en transition écologique auprès des territoires, constate la directrice associée.

 
 
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