Robots
Cookies

Préférences Cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site. Certains sont essentiels, d'autres nous aident à améliorer le service rendu.
En savoir plus  ›
Menu mobile Emploi Environnement
Fermer le menu mobile

Mon compte

recherche Emploi Environnement

Consultant·e SSP : un métier de terrain varié et enrichissant

Être consultant·e Sites et sols pollués (SSP), en quoi cela consiste-t-il ? Clara Beaulieu, en poste depuis cinq ans chez ERM France, nous décrit une semaine type ainsi que les qualités nécessaires pour réussir dans ces fonctions en bureau d'études.

Reportage vidéo  |  Aménagement  |    

À l'occasion du salon Pollutec 2023, Clara Beaulieu, consultante chez ERM France, a répondu à nos questions pour présenter son métier. Embauchée au sein du bureau d'études environnement à l'issue de son alternance, elle est spécialisée dans les sites et sols pollués, dit SSP.

Le métier de consultant SSP nécessite d'être présent sur le terrain. Entre 60 à 80 % du temps se déroulent sur le site des clients, explique Clara Beaulieu. « Pour les jeunes consultants, cela permet de s'approprier le poste et de comprendre les différents enjeux des SSP, déclare-t-elle. Voire pour plus tard, d'avoir l'expérience terrain pour devenir un bon chef de projet, par exemple. » Une semaine type d'un consultant se décline donc en trois étapes. La première consiste à préparer le chantier : rassembler les documents d'hygiène et de sécurité, se coordonner avec les clients et les sous-traitants pour les rendez-vous sur place, demander les permis si nécessaire. Une fois sur place, le·la consultant·e visite le site, réalise des prélèvements d'échantillons (eau, sols, gaz, etc.) et supervise les sous-traitants, notamment les foreurs. Dernière étape : la rédaction des rapports techniques détaillés.

Aimer le terrain et les déplacements est un prérequis dans ce métier. Être détenteur du permis B est indispensable. Le·la candidat·e doit également être autonome et bien organisé·e. Il est fréquent de mener de front plusieurs projets. Il est également recommandé de posséder une bonne culture sur la santé et la sécurité, ainsi que faire preuve d'aisance rédactionnelle. Deux compétences, qui selon Clara Beaulieu, s'acquièrent avec l'expérience. En effet, le métier est ouvert aux jeunes diplômés. Une première expérience, sous forme de stage ou d'alternance dans le domaine, est cependant appréciée. Un niveau bac + 5 est requis, avec une spécialité scientifique ou environnement.

 
 
Nos marques :