Robots
Cookies

Préférences Cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site. Certains sont essentiels, d'autres nous aident à améliorer le service rendu.
En savoir plus  ›
Menu mobile Emploi Environnement
Fermer le menu mobile

Mon compte

recherche Emploi Environnement

Rencontrez le cabinet de recrutement Muhalink sur l'Espace Emploi de Pollutec... 6 recrutements en cours

Info flash  |  Biodiversité  |    
Rencontrez le cabinet de recrutement Muhalink sur l'Espace Emploi de Pollutec... 6 recrutements en cours

Dans le cadre du job-dating de Pollutec, les demandes de rendez-vous avec les recruteurs-exposants sont en cours. Les entretiens auront lieu sur l'espace Emploi-Compétences du salon (hall 4, stand K129), à Lyon, du 12 au 15 octobre 2021. Parmi les présents, Muhalink, cabinet de recrutement spécialiste du métier de naturaliste, qui décrypte les opportunités...

Travailler à la préservation des espèces et des sites naturels

Si le secteur de l'Environnement brille par sa composante industrielle, il ne faut pas oublier un "incontournable" : la nature. Les métiers liés à la biodiversité et à la protection des sites sont d'actualité, dans un contexte où les projets d'aménagement et d'implantation d'activité font l'objet d'études d'impact environnemental.

L'interdiction de destruction des espèces protégées, l'avènement des procédures ERC - éviter, réduire, compenser -, par exemple, imposent d'instruire des dossiers très complets, sur les 4 saisons de l'année. Et cela, avant, pendant et à la fin de l'activité étudiée : construction d'infrastructures, urbanisme, installations EnR, activités ICPE...

Le métier de naturaliste et ses déclinaisons recrutent

Le cabinet de recrutement et conseil RH, Muhalink, s'est spécialisé sur le métier de naturaliste et ses déclinaisons. "La demande de profils compétents en matière d'étude des milieux concerne de nombreux acteurs - bureaux d'études, aménageurs, industriels, porteurs de projet en énergies renouvelables...", décrypte Romain Beke, fondateur de Muhalink. "Les candidats à l'emploi trouvent facilement des postes, mais les attentes des recruteurs sont précises." continue-t-il.

Le volet juridique de la profession est aisément couvert par les candidats, dont les formations généralistes d'ingénieur en environnement sont adaptées à la spécialité. Toutefois, les profils manquent dès qu'il faut mener les études naturalistes sur le terrain. Les botanistes, chiroptérologues, ornithologues, paysagistes... sont rares. "Outre les professionnels expérimentés, immédiatement employables, nous apprécions les candidats en provenance d'un BTS GPN - Gestion Protection de la Nature." déclare Romain Beke. "La formation est suffisamment concrète pour que les candidats soient rapidement à l'aise sur le terrain."

Ingénieur et bac+5, connaissez-vous le terrain ?

D'une façon générale, les Bac+5 peinent à convaincre sur le volet "terrain" du métier, pourtant essentiel. "Je leur conseille souvent de compléter leur formation de stages significatifs ou de bénévolat au sein d'association naturaliste, ou encore chez LPO, au Conservatoire du littoral…". Trois formations longues ont les faveurs du fondateur de Muhalink : le Master Écologie Opérationnelle de l'Université Catholique de Lille, le Master Environnement de l'ISA Lille et le Master Ingénierie en Écologie et Gestion de la Biodiversité (IEGB) de Montpellier. Pour leur ancrage sur certaines réalités de terrain.

Savoir sortir des sentiers battus

"Il nous arrive de recruter de purs passionnés sans formation d'une spécialité naturaliste - la passion pour les insectes depuis sa tendre enfance, par exemple - qui se révèlent très compétents sur le terrain.", conclut Romain Beke. Les transfuges du milieu associatif ont leur chance. Si les compétences sont bien techniques et scientifiques, le bon profil ne se limite pas à un diplôme.

En revanche, dans l'idée d'évoluer vers des postes plus managériaux d'écologue, de chef de projet biodiversité ou de directeur d'études, les ingénieurs sauront tirer leur épingle du jeu. Mais après la case "terrain".

Le candidat idéal pour travailler dans la Biodiversité...

En résumé, le candidat idéal pour le secteur de la biodiversité ? C'est celui qui connaît la technicité du terrain sur au moins une spécialité, qui maîtrise le contexte réglementaire et qui connaît le fonctionnement de l'administration à laquelle les études d'impact sont destinées.

Savoir rédiger les conclusions d'une étude et communiquer avec les parties prenantes garantit l'évolution dans la fonction. Et pour grandir encore, l'aptitude au pilotage des études et des équipes est un aboutissement.

En savoir plus sur le job-dating de Pollutec : c'est ici

 
 
Nos marques :