Description du poste

Poste à mi-temps (50%) basé à Saint-Dizier (52), Nancy (54) ou Strasbourg (67) selon négociation avec le/la chargé(e) de mission.
Poste sous la responsabilité du directeur de l’ARCAD, sous la supervision du responsable du Service des missions régionales et encadré par le chef de projet de du Dispositif REX Bâtiments performants au sein de l’AQC. Le/la chargé(e) de mission sera par ailleurs accueilli(e) et soutenu(e) par les trois centres de ressources régionaux ARCAD à Saint Dizier, Lorraine Qualité Environnement à Nancy et energivie.pro à Strasbourg.

Descriptif du poste :
Sous l’impulsion des objectifs de la transition énergétique, le secteur du bâtiment s’est engagé dans une mutation importante qui bouleverse les logiques et les habitudes du passé. Comme dans tous les domaines, ces changements impliquent une montée en compétences des acteurs, qui passe par l’expérimentation. Cette étape, indispensable pour progresser, est cependant naturellement génératrice d’écueils.

L’AQC confie la capitalisation et la valorisation de retours d’expériences à des centres de ressources régionaux comme l’ARCAD. Elle s’en sert comme des leviers d’amélioration de la qualité, dans le cadre du Dispositif REX Bâtiments performants qui accompagne, depuis 2010, l’ensemble des acteurs de l’acte de construire en les sensibilisant sur les risques potentiellement émergents induits par cette mutation de la filière Bâtiment.

Le/la chargé(e) de mission a donc comme missions :
• de recueillir et capitaliser des retours d’expériences en se basant sur l’audit in situ de bâtiments performants (en phase chantier ou livrés) allant au-delà des objectifs de performances énergétiques et environnementales habituels (neuf et réhabilitation) et sur l’interview des acteurs qui ont participé aux différentes phases de leur élaboration (difficultés rencontrées, identification de vides réglementaires, de bonnes pratiques, recensement de pathologies, recueil des retours utilisateurs…). Ces bâtiments seront sélectionnés sur toute la région Grand Est ;
• d’exploiter les données, de les analyser et de partager avec des experts les expériences capitalisées, les difficultés et dysfonctionnements identifiés ainsi que les bonnes pratiques constatées ;
• de valoriser les enseignements tirés par la production de livrables (rapports écrits, alimentation de bases de données, sessions d’information publiques) pour permettre l’apprentissage par l’erreur. Cette valorisation s’attache également à mettre en valeur les bonnes pratiques.
Le but est de contribuer à mieux connaitre les limites et les leviers de progrès propres à livrer des bâtiments performants, durables et de qualité.